Incidence du VIH chez les femmes utilisant l’acétate de médroxyprogestérone en dépôt intramusculaire, un dispositif intra-utérin en cuivre ou un implant au lévonorgestrel à des fins contraceptives : un essai randomisé, multicentrique et ouvert

Des études d’observation et de laboratoire suggèrent que certaines méthodes contraceptives hormonales, en particulier l’acétate de médroxyprogestérone intramusculaire (DMPA-IM), pourraient augmenter la susceptibilité des femmes à l’acquisition du VIH. Nous avons cherché à comparer le DMPA-IM, un dispositif intra-utérin (DIU) en cuivre et un implant au lévonorgestrel (LNG) chez des femmes africaines à la recherche d’une contraception efficace et vivant dans des zones à forte incidence de VIH.

Les journalistes font campagne contre les traditions anti-femmes

Les journalistes de Tanzanie et de l’ensemble du continent africain font pression pour que leurs gouvernements rendent davantage compte de leurs politiques en matière de protection des femmes et des jeunes filles contre toutes les pratiques culturelles préjudiciables. En effet, certaines de ces pratiques sont connues pour avoir entraîné des lésions permanentes ou pire – y compris la mort !

Après 2020 : Prochaines étapes de l’accès mondial à la planification familiale

Cette note met en lumière trois questions pour le mouvement mondial de la PF après 2020, en s’appuyant sur l’engagement du CGD dans cet espace, y compris notre groupe de travail sur l’alignement dans le domaine de la planification familiale. Nous passons en revue les hypothèses critiques sous-jacentes à la conception initiale de FP2020, ainsi que leurs forces et leurs faiblesses, et plaçons les approches futures dans le contexte de l’évolution du paysage actuel, qui semble très différent de celui de 2012, année du lancement de FP2020.

Les comtés kenyans prennent des mesures pour prévenir les grossesses chez les adolescentes

Quatre comtés kenyans ont, pour la première fois, mis en place des groupes de travail gouvernementaux multi-agences dotés de plans d’action pour lutter contre le taux élevé de grossesses chez les adolescentes. Les plans d’action s’engagent à mobiliser des ressources, à lever les obstacles politiques et à améliorer l’efficacité de la fourniture d’informations et de services en matière de contraception pour les jeunes âgés de 10 à 19 ans. En juin 2019, les plans d’action sont officiellement approuvés et leur mise en œuvre est en cours.