News Topic : Planification familiale fondée sur les droits
Beth Schlachter, directrice exécutive de FP2020 : Une communauté unie face à l’incertitude
Agir maintenant pour mettre fin aux violations de la santé maternelle
Quand les restrictions à l’avortement deviennent une question de droits de l’homme
Une justice de fortune est le seul recours des femmes mal protégées dans un camp du Sud-Soudan
Des femmes et des enfants en bonne santé au cœur des objectifs de développement durable
Transparence et responsabilité : Prendre la mesure des programmes de planning familial
PMA2020 est un projet quinquennal visant à recueillir des informations sur le planning familial, l’eau et l’assainissement, ainsi que sur les questions de santé connexes dans dix pays d’Afrique et d’Asie, dont le Kenya. Des femmes comme Zipporah Sakhasia, appelées « recenseurs résidents », mènent les enquêtes dans nos communautés locales. Elles saisissent les données sur des smartphones et les téléchargent ensuite sur un serveur central, où elles sont immédiatement disponibles pour analyse et rapport.
Un choix éclairé : Un SMS à la fois
Aujourd’hui, les Mozambicains sont plus nombreux que jamais à utiliser un téléphone portable. Et si nous pouvions utiliser ces téléphones pour communiquer aux jeunes des informations précises et claires sur les contraceptifs en matière de santé sexuelle ? Pourrions-nous fournir ces informations d’une manière créative qui favorise la réflexion et le dialogue, en veillant à ce que les jeunes fassent un choix complet et éclairé ? Oui. En voici la preuve.
L’autonomisation : Au Ghana, les femmes prennent en main leur vie reproductive
Rahinatu a 18 ans et travaille dans l’un des marchés les plus animés d’Accra. Elle a quitté le nord du Ghana pour Accra afin de travailler comme kayayei (porteuse de marché), dans l’espoir d’économiser suffisamment d’argent pour acheter les articles ménagers et les ustensiles dont elle aura besoin avant de pouvoir se marier. Elle travaille sur les marchés depuis six mois, mais la vie de kayayei est désespérément dure. Les femmes et les jeunes filles comme Rahinatu dorment dans la rue, sur les portes des étals de marché ou dans des boîtes abandonnées, et sont très vulnérables au harcèlement sexuel et au viol.